Le Nouveau Monde
Attention Fragile
équilibre sur planche, lancer de couteaux
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Présentation
Après l’aventure en solitaire de Monsieur Mouche, Thomas Garcia croise l’art du clown et la musique en compagnie de deux musiciens gonflés de bonheur à l’idée de partager leur amour du ukulélé. Voici donc nos trois ukulélistes débarquant sur scène pour un premier concert après des années de sacrifices à travailler leur instrument… C’est le grand jour : ils sont enfin prêts à tout donner ! Entre reprises décalées et chansons originales, Le Grand Orchestre de Poche n’aura qu’un seul but : essayer de terminer le concert…
Sauf que ces trois clowns musiciens que l’on prendrait volontiers pour des professionnels ne sont pas à la hauteur de leurs ambitions, et leur concert pourrait bien tourner à la catastrophe. C’est la gaie-guerre. Les musiciens ne sont pas toujours d’accord sur ce qui doit être joué ou dit. Les pupitres sont trop fragiles, le soliste est trop coincé, certains partent sur le premier temps au lieu du quatrième, les tempos ne sont pas respectés. Dans le public, il y a une jolie femme, alors les égos gonflent… Et lorsque l’alcool fait irruption sur scène, il y a de la dispute dans l’air et les cordes cassent.
Direction artistique Thomas Garcia
Avec Karim Malhas, Thomas Garcia et Joris Barcaroli.
Mise en scène Charlotte Saliou
Collaboration artistique Elise Ouvrier-Buffet
Régie Antoine Hansberger
Production Aurélie Péglion
Production Compagnie Gorgomar
Coproduction Théâtre de Grasse, L’Entre-Pont, La Fabrique Mimont et le festival Scène de Cirque.
Aide à la création Région Provence Alpes Côte d’azur
Avec le soutien de la ville de Nice et le conseil départemetal des Alpes-Maritimes
La compagnie Gorgomar est créée à Nice en 2007 sous la double direction d’Aurélie Péglion (Comédienne, marionnettiste, clown) et de Thomas Garcia (comédien, clown, compositeur, metteur en scène, musicien autodidacte). Elle a pour totem un poulpe, ses bras entremêlés dessinent, inventent des spectacles où tout est possible.
Elle utilise les langages du clown, de la marionnette et du burlesque pour partager sa vision du monde, et essaie avec humanité de démontrer que, malgré l’absurdité du destin, la vie vaut la peine d’être vécue. En proposant notamment au public de partir à la rencontre de héros sensibles et foncièrement optimistes comme Grosse patate ou Monsieur Mouche. Elle tente modestement de rendre hommage à quelques célèbres figures tutélaires : Charles Chaplin, Buster Keaton, Jacques Tati, Stan Laurel et Oliver Hardy, Blake Edwards, Pierre Richard, Les Marx Brothers…
